Après avoir conseillé des associations de défense des étrangers, Maître Hached exerce depuis 21 ans son expertise en tant qu’avocat dans tous les domaines du droit des Etrangers, il défend et accompagne notamment les sans papiers, intervient pour l’obtention de visas, conseille l’immigration du travail, assiste les demandeurs de regroupement familiale et oriente les commerçants étrangers.
Le cabinet a fait du droit des étrangers son activité dominante. En ce sens Maître Rabah HACHED est intervenu dans des colloques, rédigé des articles et des rapports sur la matière (Rapport sur le droit des étrangers, élection bâtonnat 2006 par Maitre Hached). C’est pourquoi, le cabinet est qualifié pour intervenir dans l’urgence compte tenu de la spécificité de la matière et de la brièveté des délais pour enregistrer les recours sur l’ensemble du territoire français.
A l’origine, le droit des étrangers a été organisé par l’ordonnance du 2 novembre 1945 relative à l’entrée et au séjour des étrangers et du décret du 30 juin 1946.
Depuis, le droit des étrangers est régit par la loi N° 2006-911 du 24 juillet 2006 relative à l’entrée et au séjour des étrangers et du droit d’asile ( CESEDA) et par des décrets et des circulaires.
La loi du 20 novembre 2007 relative à l’immigration, l’intégration et l’asile a apporté des changements dans les domaines suivants: immigration familiale, contrat d’accueil et d’intégration, carte de résident, commission du titre de séjour, ressortissants communautaires, droit d’asile, éloignement…
L’article 40 de ladite loi est le premier dispositif de régularisation par le travail mis en place en France. Une nouvelle circulaire du 24 novembre 2009 a été adressée aux préfets.
La France vient de signer des conventions avec la Tunisie, le Benin, le Congo, le Sénégal et le Gabon en matière d’immigration choisie. Toutes ces conventions relatives à la gestion des flux migratoires et au co-développement ont fait l’objet d’une ratification par les différents pays cités.
La loi du 16 juin 2011 publiée au journal officiel de la république Française le 17 juin 2011, sur l’immigration et le droit de la nationalité apporte des nouveautés sur l’entrée et le séjour des étrangers en France.
Les nouveautés apportées au CESEDA par la nouvelle loi sont :
– Le délai de rétention au terme duquel le JLD doit être saisi est désormais de 5 jours (72 heures) et non 2 jours (48heures);
– La durée maximale de rétention est portée de 32 jours à 45 jours;
– Le séjour des étrangers malades a été restreint.
En revanche, le Conseil Constitutionnel, 9 juin 2001, n°2011-631-DC a censuré la disposition qui permettait de porter à 18 mois la rétention d’un étranger condamné pour activités terroristes, comme contraire à l’article 66 de la Constitution.
L’arrêté du 9 novembre 2011 crée les agences régionales de santé dont la compétence est d’établir un rapport qui fait suite au rapport du médecin agrée par la préfecture ou le médecin hospitalier. L’avis dudit médecin porte sur : l’état de santé de l’étranger, sur la nécessité de sa prise en charge ou non, sur le défaut de la prise en charge peut ou non entraîner des conséquences d’une exceptionnelle gravité et s’il existe ou pas un traitement approprié le dans le pays d’origine.
- Les sans papiers, le contrôle d’identité et les mesures d’éloignements
- Immigration choisie et régularisation par le travail
- Les requêtes et les contestations: visas et exequatur
- Immigration imposée par la loi et les conventions internationales signées et ratifiées par la France
- Les cartes de séjours et les diférents statuts des étrangers en France